Bernard Coffin – dessinateur, peintre, graveur

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Udaipur – Huile sur toile, 2020 -140 cm x 90 cm

Regards sur mon activité picturale

Je suis né en 1947 à Paris. La peinture n’a jamais été mon métier (j’ai été enseignant-chercheur), mais je l’ai pratiquée passionnément toute ma vie. Ce site raconte quelles furent mes ambitions et montre une partie de ma production. J’ai pris autant de soin que possible à choisir des photos qui ne trahissent pas trop l’original tout en sachant que les couleurs varient d’un écran à l’autre et parfois d’un logiciel à l’autre. La seule façon de juger une peinture, c’est de la voir « en vrai » ; je reçois volontiers dans mon atelier mais uniquement sur rendez-vous (contact@bernard-coffin.fr)

Chicago, le « L »
encre de Chine – 34cm x 24cm – 2020

Dessiner

Premiers bonheurs, avec une plume et de l’encre de Chine. Aujourd’hui encore, sur le motif ou dans l’atelier, à la recherche de l’essentiel.

L’allée des capucines
huile – 81cm x 65cm – 2012

Peindre

La couleur est venue plus tard, très vite indépendante de la ligne, gagnant son autonomie sans jamais s’éloigner complètement du motif initial.

Cette page concerne essentiellement la peinture à l’huile

Voir aussi les pages concernant les trois autres techniques que j’utilise :

AquarelleGouachePastel
Amsterdam
gravure – 24cm x 18cm – 2020

Graver

Eloge de la lenteur : apprivoiser le métal en jouant de l’acide, de la pointe sèche ou du burin ; prendre le temps d’analyser les premiers états, de méditer sur les corrections ou les ajouts à faire avant de les réaliser ; enfin savourer la joie de l’état final au sortir de la presse.

Des toits dans la vallée
huile – 38cm x 46cm – 1976
Symphonie Rustrel
huile – 92cm x 73cm – 2002
Dans le temple de Somnathpur
huile – 60cm x 55 cm – 2022
La mer est ton miroir…
huile – 50cm x 61cm- 1987
ND de Chartres portail nord
huile – 65cm x 54cm – 2012
Reflets d’iris bleus et blancs
huile – 65cm x 81cm – 2011

Une démarche continue

Quand j’ai commencé à prendre ma peinture un peu au sérieux, j’ai éprouvé le besoin de prendre du recul par rapport au motif pour laisser la préséance à mon projet : la « peinture » (que je ne sais pas définir, mais que je peux reconnaître). Et puis, me sentant plus sûr de moi, j’ai laissé le motif redevenir de plus en plus identifiable sans que la ressemblance, en devenant prééminente, me fasse abandonner mon projet : ma peinture n’a jamais été descriptive mais elle se veut évocatrice. Et si elle a pu parfois paraître abstraite, c’est seulement dû à un choix de cadrage resserré qui masque le motif pour qui ne le connaît pas.

J’aurais bien aimé parler de « figuration libre » si l’expression ne désignait pas un groupe d’artistes dont l’ambition et l’esthétique sont totalement différentes des miennes.

Chaque tableau, chaque dessin doit rester une aventure, refuser les solutions imposées ou les savoir-faire trop maîtrisés.

Marché vietnamien
huile – 90cm x 60cm – 2014

Pour plus de détails et de photos, voir aussi

Figuration et liberté : du motif à l’œuvre

Et pour quelques points de vue extérieurs sur mon travail (page en cours de construction)

Points de vue

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